L’arme chimique comme solution de pacification de la Guadeloupe Post-Coloniale

 

Enregistré en différé dans les studios de MO5 TV : le 24 février 2014.

https://www.youtube.com/watch?v=u2IFnJTmaFU

Philippe VERDOL, Maître de Conférences en Economie à l’Université Antilles Guyane et Président de l’association EnVie-Santé, est interviewé sur le thème de l’une de ses conférences programmées le 28 février: « L’arme chimique comme solution de pacification de la Guadeloupe postcoloniale ».

Cette conférence a été effectivement donnée le vendredi 28 février 2014 vers 20 heures, à la salle d’expositions de la mairie du 2e arrondissement de Paris, dans le cadre de la semaine anticoloniale.

Résumé : Comment mater un Peuple turbulent ? Informé des risques environnementaux et sanitaires, les pouvoirs publics français ont néanmoins autorisé aux Antilles l’usage du chlordécone, ce pesticide chimique organochloré de première génération, dérivé des gaz de combat. Sur le terrain, la répression classique par les forces armées change de forme. En l’état actuel, le développement économique est durablement compromis. Un triple génocide par cancers, par malformations, par stérilisation, est en cours. Les revendications politiques et institutionnelles ne semblent plus d’actualité …

Philippe VERDOL propose et analyse des perspectives.

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